Agroéquipements
Dans son plaidoyer, la Fédération nationale des Cuma s'inquiète du manque de compétitivité de la ferme France, et propose de remettre le sujet de la mécanisation au centre des enjeux. Explications avec Pierre Supervielle, secrétaire général adjoint de la FNCuma.
Pierre Supervielle, secrétaire général adjoint de la FNCuma.
© Crédit photo : FNCuma
Dans votre plaidoyer*, vous indiquez que "la mécanisation de l'agriculture française (...) est aujourd'hui un impensé politique". C'est-à-dire ? Pierre Supervielle : "Les politiques se sont occupées de la mécanisation de la ferme France après la Seconde Guerre mondiale. Elles ont participé à la création des Cuma, pour qu'elles puissent rendre efficientes l'arrivée du Plan Marshall et des nouveaux matériels en provenance des États-Unis. Et depuis, plus rien. Le législateur et les pouvoirs publ...
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