fraisier
L'oïdium reste une maladie économiquement pénalisante sur les fraisiers, notamment sous abri. Des avancées sont aujourd'hui réalisées sur la maîtrise des options de protection intégrées, et la recherche vient d'ouvrir de nouvelles pistes, notamment liées à l'utilisation d'UV-C et de solutions de biocontrôle.
L'oïdium du fraisier, causé par le champignon ascomycètes Podosphaera aphanis, est une maladie préoccupante, en particulier en culture sous abri.
© Crédit photo : CZ
L'oïdium du fraisier, causé par le champignon ascomycètes Podosphaera aphanis, est une maladie préoccupante, en particulier en culture sous abri où des pertes de récolte importantes peuvent survenir. Ses conditions de développement sont assez larges, avec un optimum thermique autour de 20°C, sachant qu'une humidité relative à partir de 75 % suffit pour la germination. "Des avancées scientifiques récentes ont mis en lumière des techniques ciblant les agents pathogènes ou la résistance de l'hôt...
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